AZF : la majorité départementale de gauche de Haute-Garonne rend hommage aux victimes

21 septembre 2001, 10h17. Le temps s’est arrêté. Nous nous rappelons toutes et tous où nous étions, ce que nous faisions, lorsque l’usine AZF a explosé. Cet instant est gravé à tout jamais dans nos mémoires.

21 ans après le drame, nous n’oublions pas les 31 morts, les milliers de blessés, les dizaines de milliers de sinistrés. Nos pensées vont aux victimes, à leur famille et à leurs proches. Nous, élu.e.s de la majorité du Conseil départemental de la Haute-Garonne, sommes aux côtés des Toulousaines et des Toulousains ainsi que de toutes les habitantes et habitants du Département en ce jour de commémoration.


Ensemble, nous n’oublions pas et transmettons ce souvenir aux générations futures.

Roselyne ARTIGUES, Conseillère départementale, Bernard BAGNERIS, Conseiller départemental, Sandrine BAYLAC, Conseillère départementale, Pascal BOUREAU, Conseiller départemental, Jérôme BOUTELOUP, Conseiller départemental, Anne BOYER, Conseillère départementale , Christine COURADE, Conseillère départementale, Martine CROQUETTE, Conseillère départementale, Didier CUJIVES, Conseiller départemental, Laurence DEGERS, Conseillère départementale, Victor DENOUVION, Conseiller départemental, Serge DEUILHE, Conseiller départemental , Zohra EL KOUACHERI, Conseillère départementale, Jean-Michel FABRE, Conseiller départemental, Marie-Claude FARCY, Conseillère départementale, Mourad FELLAH, Conseiller départemental, Sandrine FLOUREUSSES, Conseillère départementale, Dominique FOUCHIER, Conseiller départemental , Alain GABRIELI, Conseiller départemental, Sabine GEIL-GOMEZ, Conseillère départementale, Vincent GIBERT, Conseiller départemental, Ines GOFFRE-PEDROSA, Conseillère départementale, Loïc GOJARD, Conseiller départemental, Isabelle HARDY, Conseillère départementale, Gilbert HEBRARD, Conseiller départemental, Julien KLOTZ, Conseiller départemental, Didier LAFFONT, conseiller départemental, Marie-Claude LECLERC, Conseillère départementale, Jean-Louis LLORCA, Conseiller départemental, Christophe LUBAC, Conseiller départemental, Aude LUMEAU-PRECEPTIS, Conseillère départementale, Line MALRIC, Conseillère départementale, Laurianne MASELLA, Conseillère départementale, Georges MERIC, Président du Conseil départemental , Emilienne POUMIROL, Conseillère départementale, Patrice RIVAL, Conseiller départemental, Anaïs SAINT-AUBAIN, Conseillère départementale, Arnaud SIMION, Conseiller départemental, Florence SIORAT, Conseillère départementale, Thierry SUAUD, Conseiller départemental, Aurélien TARAVELLA, Conseiller départemental, Sophie TOUZET, Conseillère départemental, Maryse VEZAT-BARONlA, Conseillère départementale, Annie VIEU, Conseillère départementale , Sébastien VINCINI, Conseiller départemental, Véronique VOLTO, Conseillère départementale.

Face à la sécheresse : accélération du plan d’action départemental

Face à l’accélération du réchauffement climatique, aux épisodes de canicule à répétition et à la sécheresse que nous connaissons, la majorité départementale a fait le choix d’accélérer la mise en œuvre d’actions concrètes afin de garantir et sécuriser l’accès à l’eau et ses usages à court, moyen et long terme.

Parmi les actions ciblées annoncées, nous pouvons noter :

  • Le lancement d’une concertation autour de la création de nouvelles retenues d’eau.
  • Une campagne de sensibilisation pour préserver la ressource en eau sera menée auprès des Haut-Garonnaises et les Haut-Garonnais.
  • La réutilisation des eaux usées traitées pour l’arrosage agricole et des espaces verts sera expérimentée.
  • Création de trois nouvelles stations d’alerte sur les rivières du Tarn et de l’Ariège, pour protéger les usines d’eau potable de Villemur-sur-Tarn, Buzet-sur-Tarn et Calmont.

Pour plus d’infos, retrouvez l’interview de Jean-Michel Fabre, Vice-président en charge de la Transition écologique, au sujet de l’action du Département dans la gestion de l’eau : https://www.youtube.com/watch?v=Pof8MyIak5E

Rentrée scolaire : la majorité mobilisée pour le pouvoir d’achat des Haut-Garonnais !

Pouvoir d’achat pour tous !

Alors que de plus en plus de familles peinent à boucler les fins de mois et à l’occasion de la rentrée scolaire, la majorité départementale réaffirme son engagement pour le pouvoir d’achat des Haut-Garonnais.


Depuis 2015, vos élu.e.s ont fait le choix de mettre l’humain au cœur des politiques publiques menées avec des actions concrètes pour alléger les dépenses du quotidien.

La majorité a fait le choix de ne pas augmenter les impôts départementaux et de proposer à la population de nombreux services gratuits.  Dans le domaine de la santé par exemple, le Département de la Haute-Garonne finance + de 29 000 consultations médicales gratuites réalisées pour les 0-6 ans par les professionnels de la PMI.  Plus de 26 000 personnes âgées et handicapées bénéficient de la téléassistance gratuite. Dans le domaine des transports, c’est + de 17 000 personnes qui bénéficient chaque année des transports publics gratuits.

Parce que la jeunesse est notre avenir, des moyens importants sont portés sur l’éducation. Pour 2022, c’est 194 millions d’euros de budget pour l’éducation ! Arrêtons-nous sur une mesure forte portée par la majorité :  l’aide à la restauration scolaire. C’est une mesure qui permet à plus de 22 000 collégiens de bénéficier d’une gratuité totale ou à hauteur de 50% de la restauration scolaire.  Pour la rentrée 2022, grâce à une modification des barèmes des quotients familiaux, c’est 500 jeunes supplémentaires qui pourront prétendre à la gratuité totale des frais ! Une mesure importante pour alléger le coût de la vie des familles. A noter également que + de 1500 jeunes bénéficiaires de logements jeunes à bas loyer.

Enfin, signalons également que depuis 2020 + de 150 000 bons solidaires d’un montant de 80 à 300 euros ont été distribués !

Ces mesures ne représentent que quelques exemples des politiques publiques menées au Conseil départemental de la Haute-Garonne en faveur du pouvoir d’achat des Haut-Garonnais. Un objectif : accompagner les plus fragiles dans tous les territoires !

Tribune : La République, toujours !

Sébastien Vincini, Président du Groupe des élu·e·s Socialistes, Radicaux, Progressistes et Citoyens, revient sur l’engagement de la majorité départementale en faveur des valeurs républicaines et de la Laïcité.

Pourquoi est-ce important pour votre majorité de promouvoir les valeurs de la République ?

Les valeurs de la République constituent le socle de toutes nos politiques publiques. Ainsi, l’exigence de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité est intrinsèque à notre engagement politique. Nombreux sont les responsables politiques à se déclarer profondément attachés à ces valeurs fondatrices. Nous allons plus loin : nous les défendons et les promouvons. Nous ne nous limitons pas à une incantation. Être attaché aux valeurs républicaines relève de la responsabilité citoyenne. Les faire vivre est un acte politique.

De quelle manière les faites-vous vivre ?

Pour notre majorité, servir le triptyque républicain, c’est d’abord permettre à chacune et à chacun d’accéder à l’autonomie, de pouvoir vivre en dignité et de construire un jugement éclairé. Bien sûr, nous nous y employons lorsque nous déployons nos politiques de solidarité mais nous allons plus loin avec des dispositifs uniques en France comme les Chemins de la République ou le Parcours laïque et citoyen qui s’adresse à tous les élèves du département dès le CM2. Éveiller les consciences dès le plus jeune âge, sensibiliser aux valeurs républicaines, c’est donner toutes les clés à nos enfants pour qu’ils exercent pleinement leur citoyenneté de manière libre et autonome. Un autre engagement concret que nous avons été les premiers à mettre en place, c’est la mixité sociale dans les collèges. Nous fermons des collèges défavorisés et nous réaffectons les élèves dans de meilleurs établissements. Nous luttons ainsi contre le déterminisme social de manière concrète. C’est cela la promesse républicaine. Nous avons aussi créé le Conseil départemental de la laïcité et des valeurs de la République, un dispositif unique qui n’a pas d’équivalent en France.

À quoi sert ce nouveau Conseil départemental de la laïcité et des valeurs de la République ?

C’est un organe indépendant de nos services, composé d’associatifs, de chercheurs, d’élus, 22 membres au total. Il produira un rapport annuel sur l’état de la laïcité et des valeurs de la République en Haute-Garonne mais surtout, il donnera des avis consultatifs sur nos choix politiques avec des recommandations. L’idée est de mettre autour de la table toutes les personnes qui font vivre la laïcité tous les jours dans leurs engagements et de travailler ensemble. Cette démarche s’inscrit pleinement dans la volonté de notre majorité de travailler en collectif, de « faire avec ». Nous en faisons la preuve par les actes.

Comme avec l’assemblée citoyenne départementale ?

Exactement. Lors de la campagne électorale de 2021 nous avions pris l’engagement devant les électrices et les électeurs de créer une assemblée citoyenne départementale. Nous avons tenu parole et créé cette assemblée. Pour la composer, nous voulions que des citoyens volontaires soient tirés au sort. Tous les élus de la majorité ont donc sillonné le territoire en mai et juin dernier pour faire connaître l’assemblée citoyenne et proposer aux habitants de candidater pour y siéger. Les candidatures ont été clôturées le 24 juin. Elle siègera pour la première fois en octobre prochain. 162 personnes volontaires, six par canton à parité, donneront des avis et feront des propositions sur nos politiques pendant deux ans. Il n’y aura aucun élu local, ni aucun agent du Département parmi les membres. Il ne s’agit pas de marketing politique, ce n’est pas une coquille vide pour faire semblant de co construire les politiques publiques. L’idée est vraiment de donner la parole aux citoyennes et aux citoyens en toute indépendance. Nous affirmons clairement notre engagement en faveur de la démocratie participative avec cette Assemblée citoyenne, la plus grande de France !

Pensez-vous que ces initiatives sont de nature à répondre à la crise démocratique que nous connaissons ?

Je le crois. Cette crise démocratique ne pourra se régler que dans la durée en multipliant comme nous le faisons des actes politiques forts qui démontrent la connexion des décideurs publics avec la réalité des aspirations de la population. C’est l’État social qu’il faut rebâtir pour rétablir la confiance. Comme le disait Léon Blum : « Pas de démocratie politique sans démocratie sociale ».